Une élève de l’École supérieure de ballet du Québec se démarque à l’émission Révolution
À seulement 15 ans, Sophie Houle, élève de l’École supérieure de ballet du Québec, s'est distinguée par une performance exceptionnelle sur pointes à l’émission Révolution, diffusée sur TVA ce dimanche. L’École supérieure est fière de l’accompagner pour sa participation à la célèbre compétition télévisée. En digne ambassadrice du ballet, Sophie a impressionné les juges par sa technique, son interprétation et sa capacité à renouveler le genre classique.
Lors de l’émission de rentrée de TVA, le maître de Révolution Jean-Marc Généreux évoquait son coup de cœur pour Sophie : « C’est une virtuose. On ne peut pas s'imaginer à quel point elle a poussé son art, à un si jeune âge. (…) Elle est en train de devenir une artiste complète. »
Si plusieurs anciens élèves de l’École supérieure ont déjà foulé les planches de Révolution – nommons seulement Katerine Leblanc (gagnante de la saison 1 avec le duo Team White) et Janie Richard (gagnante de la saison 2 avec son partenaire Marcio) – c’est la première fois que l’institution joue un rôle officiel de soutien pour une de ses élèves participant à cette émission. Sophie a pu ainsi bénéficier de l’encadrement précieux de l’ex-danseur et chorégraphe Gaby Baars, artiste de renommée internationale et professeur de l’École supérieure, ayant notamment dansé avec le Netherlands Dans Theatre et Les Ballets de Monte-Carlo. L’École supérieure a également fait appel à un cordonnier qui a préparé des pointes tout spécialement adaptées pour que Sophie puisse danser sur le plancher de l’émission.
Sophie Houle fait partie d’une prodigieuse cohorte qui a su traverser les épreuves de la pandémie avec résilience et détermination et qui poursuit le rêve ardent d’entrer dans une grande compagnie de danse. La directrice artistique de l’École supérieure, Anik Bissonnette, ne manque pas de souligner que « toute l’école est fière de voir Sophie évoluer au quotidien dans ses apprentissages. L’immense talent qu’elle partage avec ses extraordinaires camarades de studio est soutenu par une formation qui respecte les plus hauts standards du ballet d’aujourd’hui, dans l’esprit d’une tradition toujours en évolution. Le ballet demeure une incroyable porte d’entrée sur le monde de la danse professionnelle pour tous les jeunes artistes qui rêvent d’une carrière épanouissante. »
L’École supérieure souhaite à Sophie Houle la meilleure des chances dans son parcours à l’émission Révolution.
Mise à jour – 20 novembre 2023
Sophie Houle a particulièrement bien représenté la discipline du ballet, tout en livrant une interprétation empreinte de liberté et de modernité. Elle a remporté haut la main trois épreuves de la compétition télévisée, et a fort impressionné les maîtres par sa technique impeccable, doublée d’une sensibilité et d’une créativité qu’ils ont rarement pu observer chez les danseurs classiques passés sur le plateau de l’émission. Le parcours de Sophie à Révolution s’est clôt sur l’épreuve des Duos improbables, où elle a livré encore une fois une performance exceptionnelle.
L’équipe de l’École supérieure félicite chaleureusement Sophie Houle pour ses accomplissements. Elle a été sans nul doute une magnifique et inspirante ambassadrice de l’École supérieure de ballet du Québec.
© Catherine Forget - Révolution
© Catherine Forget - Révolution
À propos de l’École supérieure
L’École supérieure de ballet du Québec a pour mission de former des danseurs et des créateurs répondant aux plus hauts critères des institutions du monde professionnel de la danse et, par le fait même, de promouvoir la reconnaissance, le rayonnement et le développement de la danse. Fondée en 1952 par madame Ludmilla Chiriaeff et incorporée en 1966 à la demande du ministère des Affaires culturelles du Québec, elle est la référence au Québec en matière d’enseignement et de formation professionnelle en danse classique. L’École supérieure est affiliée aux Grands Ballets canadiens. Elle mène sa mission grâce au soutien financier du ministère de la Culture et des Communications du Québec ainsi que du ministère du Patrimoine canadien. Membre de l’Association des écoles supérieures d’art du Québec, l’École supérieure reconnaît également la collaboration de ses partenaires scolaires, le Cégep du Vieux Montréal et le Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie.