Alix Laurent
Gestionnaire expérimenté, Alix Laurent œuvre dans le domaine culturel depuis les 25 dernières années. Reconnu pour son leadership rassembleur, son dévouement et sa transparence, dès sa nomination comme directeur général en 2006, il instaure une série de changements organisationnels qui permettent de repositionner l’importance du rôle de l’institution dans le milieu de la formation professionnelle en art. Aussi, il ouvre tous les studios au grand public et assure ainsi un meilleur rayonnement et surtout de nouvelles sources de revenus nécessaires à la mission de l’école. En 2010, il contribue activement au recrutement d’une nouvelle direction artistique afin d’assurer la présence à l’École supérieure d’une artiste de grande envergure à la hauteur de sa qualité et de la vision artistique de sa fondatrice, Ludmilla Chiriaeff.
En tant qu’entrepreneur, il a consacré sa carrière à bâtir des collectivités plus fortes et plus dynamiques. À titre d’éditeur à Montréal, au début des années 1990, il a fondé plusieurs publications dont notamment le Magazine Images et le Voice Magazine. Cette dernière publication culturelle porte depuis l’automne 1996 la dénomination de Vice, une entreprise médiatique très en vue aux États-Unis et ailleurs dans le monde.
Grand défenseur de la diversité et des relations interculturelles, Alix Laurent a été l’un des principaux instigateurs des célébrations du Mois de l’histoire des Noirs au Québec. Il a aussi fondé la Semaine d’actions contre le racisme et le Festival de films sur les droits de la personne de Montréal.
Très impliqué dans le milieu culturel, il a été membre de nombreux conseils d’administration, notamment à Télé-Québec, à Culture Montréal et aux Prix de la danse de Montréal. Il siège actuellement aux conseils d’administration du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), de la compagnie Skeels Danse et préside également celui de l’Association des écoles supérieures d’art du Québec (ADÉSAQ).
Alix Laurent est titulaire d’un baccalauréat spécialisé en sciences économiques, d’un certificat en droit de l’Université de Montréal et d’une maîtrise en administration de l’École nationale d’administration publique.